L’encapuchonné de service est de retour !Il n'était pas partit bien loin, Desmond revient bien vite continuer son histoire à travers Enzio le charmeur devenu assassin.
Retour au pays des pâtes donc, direction la villa Auditore pour un petit dégourdissage de pattes justement dans notre maison à nous fièrement rénové juste à temps pour être détruite par les Borgia.
Vous-avez-1-nouveau-message
"yo c cesare borgia g pouri ta mézon lol"
Les Borgia, c'est avant tout un papa, Pape depuis l'épisode précédent, qui a réellement existé (si si) et dont les joueurs savent qu'il n'est pas un saint (hihi) même si à l'occasion, il aime bien en tripoter.
Mais c'est aussi un fils, Cesare qui sera notre principal ennemi durant cet épisode.
Chassé de la domus familiale, Enzio s'exile dans un centre urbain, une ville mytautologique, Rome.
Aidé par ses anciens compagnons, il retrouve vite l'esprit d'entreprise et décide d'acheter la ville, rien que ça, probablement pour faire plaisir à ses futurs très nombreux petits-enfants.
Sauf qu'évidement, chaque ruelle est contrôlée par les Borgia et leurs innombrables troupes de Pizzaiolos en armures des égouts aux toits.
Je spoil un peu, mais c'est tellement bien de voir un Pape en pleine orgie On attaquera donc réellement l'histoire en délogeant quartier par quartier les Borgia en brûlant leurs tours et en accomplissant les missions, je ne vous en dis pas plus concernant l'histoire, juste qu'on reste à peu près tout le temps à Rome, qui est en gros divisée en 4 parties, la ville, le quartier antique, la campagne et le Vatican.
Enzio, toujours très classe même à poil, à justement perdu son armure d'Altaïr et à peu près tout son équipement à l'exception de sa fameuse lame.
Du coup, nous revoilà à dépouiller les passants, à fouiner les coffres et, nouveau, à inspecter les macabés qui ont des poches bien pleines en soussous mais aussi en munitions diverses voir en objets.
Avec tout ça, on peut toujours teindre sa tenue, ou, plus utile, s'acheter des sacoches, histoire par exemple de porter une arme lourde. Autre nouveauté, l'arbalète, aperçue dans la vidéo du 1, est enfin disponible !
Il y a pas à dire, ces soirées épicurismes c'est quand même quelques chose. Salut Pan ! Jolie feuilles Artémis ! énormeuh! Du coup à distance, on a le choix entre couteaux, balles, carreaux et même, nouveau également, poisons !
Les combats sont également plus riches. Les ennemis n'hésitent pas à vous saisir ou à frapper en plein enchainement mortel.
Il est désormais possible de lancer des armes lourdes à distance aussi, c'est toujours jouissif de voir une brute (colosse en armure) se manger sa propre épée à deux mains, mais le désagrément étant qu'après il faut la récupérer.
On peu également se battre avec et contre des cavaliers ou des fusiliers et arbalétriers.
Nous retrouverons également ce bon vieux-jeune-mais-moins Léonard Da Vinci, qui se fera un plaisir de nous obliger à pioncer sur des bancs comme un clochard pour avoir ses inventions, qu'on sera d'ailleurs amené à piloter, tel le tank ou la mitrailleuse.
Pioupiou
Alors le défaut des Assassin's creed était qu'en général, on s'ennuyait toujours un peu dans les rues.
Et ben dans Brotherhood, c'est plus le cas ! Il y a en effet beaucoup de choses à y faire, comme par exemple...
constituer sa propre bande de racailles en capuche.
"Vous êtes ici"
Et ça, c'est kiewl. On ce balade dans la ville et aux points indiqués (le rond entouré de 4 flèches) on tombe sur un citoyen (aléatoire selon un panel limité comprenant hommes&femmes) courageux mais en difficulté qu'il faut sauver si on veut avoir du monde au barbecue le soir.
Après avoir saisi le concept, vous me connaissez, j'ai essayé de former une bande de blondes en armures adeptes de la hache à deux mains. Bon vu qu'il était très difficile de n'avoir que des membres intelligents, j'ai aussi pris deux-trois gars et des brunes
L'avantage des koupaings, ou plutôt ici des koupines, c'est qu'on peut les convoquer comme un gros parrain roxXxor pour qu'ils tabassent les touristes et ça, ça donne vraiment une autre dimension au jeu.
On peut également les envoyer glaner de l'XP et dans toute l’Europe,
et ils peuplent le QG quand ils sont inoccupés. Nous retrouvons la collecte de plumes et de drapeaux, ainsi que diverses objets à débloquer, en particulier dans des séquences ressemblants à celles permettant d'avoir l'armure d'Altaïr dans le 2, je n'en dis pas plus mais c'est toujours une bonne occasion de changer d'air.
IL y a aussi un savant mélange entre l'histoire réelle et fictive
qui est toujours aussi prenant dans cette série, notamment à travers "la vérité" ou simplement les descriptions des lieux historiques, la balade dans le Rome antique est sympathique.
AC II B, qui n'est pas une taille de slip mais bien un jeu, est vraiment bien pour ce qui est de sa partie solo.
Concernant le multi, il est prenant mais je vous renvoi à d'autres testeurs pour lui, ne testant toujours que les solos
les + :
-univers plus riches
-la confrérie
Les - :
-Trop de Rome, ça peut saouler (ça, c'est fait)
-pour chipoter, le graphisme est parfois trop carré mais c'est vraiment pour râler.
A pelusse et comme on dit en latin :
Requiescat in pace